Dans les Chemins de Faunesse
La corbeille paillée dans ses bras, gagner sa vie
Elle vend des fleurs tous les jours et tous les soirs
Dans les chemins des larmes du lac de Faunesse
La vieillesse, se fatiguait vendante de la nostalgie.
Se bercer d’illusion, avec le mimosa, �* la brune
Sous les heures mornes d’imagination illusoire
Balader l’indigence, apaiser ses gênes pénibles
Qu’elle pèse la jeunesse par les mots de la muse.
Boucles de Canicule
Abdullah Karabağ
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Buraya Kadarmış ..
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